Bank Run
L’agitation autour des banques régionales américaines et la contagion des turbulences aux banques européennes ont plus que rythmé les marchés. Sur fond d’inflation qui perdure et en recherche de visibilité, les différentes places boursières ont marqué le pas ce mois-ci.
Un an après le début de la guerre
L’optimisme du mois de janvier se poursuit en grande partie grâce à la dynamique de croissance des pays développés. Malgré le léger recul des pressions inflationnistes, le combat mené par les banques centrales semble toutefois loin de son terme. En parallèle, le spectre d’une « guerre froide » refait son apparition.
2023 démarre en fanfare
Alors que le mois de décembre s’est inscrit en recul, l’année 2023 démarre quant à elle sur fond d’optimisme avec une progression généralisée des marchés actions. Le STOXX Europe 600 progresse de + 6,67 % sur le mois tandis que le S&P 500 s’inscrit quant à lui en hausse de + 4,67 % en euro. Si la route est encore longue pour atteindre la cible des 2 % d’inflation, la confiance des investisseurs quant à la vitesse de sa rechute semble avoir lancé un vent d’optimisme.
Montségur finalise l’acquisition de la société de gestion SEPIAM.
Montségur renforce sa capacité à investir dans des petites entreprises européennes de croissance.
Pas de cadeaux pour les marchés
Les marchés auront clôturé 2022 dans le rouge. La Bourse de Paris a signé sa pire performance annuelle depuis quatre ans, et la majorité des indices a accusé un repli sous les effets des politiques monétaires et du conflit aux portes de l’Europe. Le mois de décembre n’aura quant à lui pas illustré l’habituel rallye de fin d’année.
Quand avril rime avec fébrile
Sur fond de publications de résultats des entreprises, les marchés financiers hésitent en ce début de trimestre entre appétit et aversion pour le risque. Tandis que les craintes vis-à-vis du ralentissement chinois s’amplifient, l’offensive russe en Ukraine semble désormais avoir pour objectif de s’emparer non seulement du Donbass mais aussi du sud du pays. Dans ce contexte volatil, les devises refuges, à l’instar du dollar, sont soutenues.